Powering Over 100 Research Projects with Air Quality Data

The UPSURGE project, funded by Horizon 2020, focuses on enhancing air quality and climate neutrality in urban areas through innovative Nature-Based Solutions (NBS). Through a network of 50 wearable air pollution sensors in each of five European cities — Belfast, Breda, Budapest, Maribor, and Katowice — this initiative serves as a model for cities seeking to mitigate air pollution and transition towards regenerative urban development.

In partnership with Design Nature, Stantec, and the University of Reading, Reading Borough Council, UK, launches the CALM:ER program – Clean Air Living Matters: Exploring Reading. This initiative involves school activities for primary and secondary students and sensor deployment to enhance air quality awareness among students and parents. Aiming to foster community-wide behavioral changes, the project addresses concerns regarding wood burning and particulate matter. The program will be running until spring 2025.

A research team from Georgia State University is using Atmotubes PRO to explore the complex link between air pollution and children's health in Atlanta. Focusing on 3-4 year olds, they aim to understand how pollutants affect their bodies by examining changes in their salivary metabolome. Sampling occurs over 4-5 weeks in daycare centers across seasons, measuring PM2.5, NOx, O3, ultrafine particulates, and black carbon indoors, outdoors, and during transit.

Howard University researchers from the Department of Electrical Engineering and Computer Science use Atmocube to measure and compare indoor air in low-income and high-income households in Washington DC and Baltimore, to understand the relationships between socioeconomic factors and indoor environmental exposures.

Columbia University, Addis Ababa University, Makerere University, and the University of Nairobi are conducting a personal exposure assessment in the context of a study that links lung function to air pollution. The research has been taking place in Addis Ababa, Kampala, and Nairobi from 2022 to 2027.

A research group from San Diego State University, partnering with dfusion, has developed the Personal Exposure Toolkit (PET) to engage community members as Citizen Scientists. The PET enables anyone to measure real-time air pollution exposure and share findings with peers, policymakers, and other school and community stakeholders. The PET consists of the PET Recorder mobile app, a web portal, and the Atmotube PRO.

Le projet Brainteaser, financé par la Commission européenne dans le cadre du programme Horizon2020, utilise Atmotube PRO pour étudier la sclérose latérale amyotrophique et la sclérose en plaques. Le projet implique plusieurs groupes de recherche qui analysent les données cliniques, environnementales et comportementales à l'aide de la modélisation IA afin d'améliorer les soins aux patients. Les partenaires sont notamment l'Instituto de Medicina Molecular et l'Università degli Studi di Torino.

Le Centre de recherche économique et sociale de l'USC utilise Atmotube PRO dans le cadre de l'étude Understanding America Study (UAS). L'étude examine les facteurs qui incitent les ménages à adopter des capteurs de qualité de l'air et à suivre la santé et la cognition dans le cadre d'une étude longitudinale. Une étude pilote réalisée en 2022 a permis de valider la conformité de la technologie. En 2023, plus de 500 personnes de tous âges utiliseront les Atmotubes et répondront à des enquêtes mensuelles.

Atmo Hauts-de-France and its Belgian partners (ISSeP, VMM, and AwAC) used Atmotube PRO in the project called TransfAIR, co-financed by the European Interreg France-Wallonie-Vlaanderen programme. The project aims to create tools for managing air quality across borders in Flanders, Hauts-de-France, and Wallonia. Atmotube PRO was used for citizens' air quality monitoring education during the "AERO Adventure" game.

En 2020, le Clean Air Action Group (CAAG) a mené le projet "Citizen Science to Improve Air Quality" (science citoyenne pour améliorer la qualité de l'air) dans le cadre duquel des parents ont mesuré la qualité de l'air sur des terrains de jeux pendant un an.

Le projet SJEQ-D, financé par la National Science Foundation, travaille avec les communautés de Globeville, Elyria-Swansea, Cole et Clayton dans le nord de Denver . Des chercheurs de l'université du Colorado (CU) Boulder et de CU Denver évaluent l'impact des perturbations de la construction sur le bien-être, la pollution et la mobilité des membres de la communauté qui porteront des moniteurs d'air Atmotube PRO pendant quatre mois pour surveiller leur exposition aux PM2,5.

Le projet Breathe Southern California étudie l'impact de la qualité de l'air sur la santé pulmonaire en surveillant la santé des personnes souffrant d'asthme à Pacoima, en Californie. Le projet est financé par le California Air Resources Board et propose des capteurs de qualité de l'air Atmotube et des inhalateurs activés à 50 participants. L'étude superposera l'utilisation de l'inhalateur aux données sur la qualité de l'air en temps réel afin d'identifier les "points chauds" potentiels d'exacerbation.

L'université de Calgary étudie les effets de la proximité résidentielle de la fracturation sur la santé des enfants. L'étude utilise Atmotube pour mesurer l'exposition des enfants aux polluants atmosphériques pendant une semaine, tout en évaluant leur fonctionnement cognitif, scolaire et socio-affectif. La recherche vise à fournir des informations sur les risques sanitaires associés à la fracturation et à éclairer les politiques qui protègent la santé des enfants.

GREEN-MPNA et UCI ont utilisé Atmotube PRO pour surveiller la qualité de l'air à Santa Ana, en Californie. Le projet a été financé par le California Air Resources Board et visait à mieux faire connaître les problèmes de justice environnementale dans la région, à déterminer comment les facteurs socio-économiques sont liés à la qualité de l'air et à déterminer si la pollution de l'air était principalement causée par des sources industrielles ou par la circulation .Consulter le rapport complet

Un cours d'études environnementales de premier cycle au Lewis & Clark College utilise les PRO d'Atmotube pour offrir aux étudiants une expérience pratique de la conception, de la mise en œuvre, de l'analyse et de la communication d'une recherche. À l'aide d'observations de la qualité de l'air et de techniques d'entretien, des équipes d'étudiants élaboreront une question de recherche, mettront en œuvre leur plan de recherche et publieront leurs résultats via une carte d'histoire ArcGIS.

Atmotube a fait partie d'une étude menée par le Desert Research Institute et ses partenaires pour améliorer la détection des incendies à l'aide de capteurs de qualité de l'air abordables. La recherche a testé la réponse d'Atmotube aux produits de combustion provenant des matériaux des engins spatiaux. Les dispositifs ont donné de bons résultats dans tous les tests d'émission de feu, montrant une forte corrélation avec les mesures PID. Consultez le rapport complet. Remarque : le modèle actuel d'Atmotube n'est pas équipé d'un capteur de CO.

L'Université du Québec à Chicoutimi mène une étude sur les conditions environnementales des policiers qui effectuent des patrouilles à vélo, dans le cadre d'une analyse plus large de l'effet des conditions de travail sur la santé et la sécurité des policiers. Les PRO Atmotube seront utilisés pour recueillir des informations sur leur exposition à des facteurs externes tels que la température, les conditions atmosphériques, etc., qui seront mises en relation avec des variables physiologiques.

UCI Health a utilisé les Atmotube PRO pour surveiller l'exposition personnelle aux PM2,5 et aux COV pendant la réouverture du COVID-19 et les incendies de forêt en Californie. L'étude a évalué les différences d'exposition en fonction des activités des volontaires dans leur logement (fumer, cuisiner, nettoyer, changer de système de ventilation intérieure, etc. Les capteurs ont capturé les changements spatiaux et temporels pour chaque individu, ainsi que l'élévation extrême des niveaux de PM2,5 et de COV pendant les incendies de forêt.